C’est à partir des années 1990 qu’un discours juridique s’est affirmé dans les mouvements sociaux, notamment dans les revendications relatives au statut légal des couples de même sexe, qui a permis l’instauration du Pacs en 1999 (Mécary et Leroy-Forgeot, 2001).
La question de l’ouverture du mariage civil aux personnes de même sexe a surgi sur la scène politique française à la suite de la publication du « Manifeste pour l’égalité » dans Le Monde daté du 17 mars 2004, et de l’annonce par le maire de Bègles le 9 avril de la même année de la célébration d’un mariage d’un couple gay. Si une préférence a été accordée au mariage dans les mouvements homosexuels et dans le discours politique français, c’est d’une part en référence au code napoléonien qui donne une très grande place au mariage par rapport à d’autres formes de partenariat en définissant de fait un éthos universaliste de la citoyenneté. D’autre part, ce réalisme politique témoigne de la transformation du rapport entre droit et militantisme gay et lesbien tout à fait opposé au militantisme des années 1970 et 1980 qui était davantage du côté de la critique des institutions et dans une position revendiquée de marge en tant que pouvoir subversif. En outre, si la revendication pour le mariage (gay et lesbien) est devenue un enjeu politique au cours de ces dix dernières années, c’est qu’elle a pu être portée et légitimée par ce qu’Alison Woodward (2003) nomme le triangle de velours. Ce sont des formes de relations entretenues par les mouvements sociaux, les experts et les acteurs de la politique publique. Ce concept permet de souligner la nature souvent personnelle et informelle des liens qui unissent les membres de ces réseaux (Paternotte, 2011).
Dans ce contexte actuel où le droit devient le lieu du changement social, voire de l’utopie, quel en est l’impact dans la manière de penser le couple lesbien ? Alors même que les lesbiennes ont davantage porté les revendications relatives à la filiation que celles portant sur le mariage, comment cette production de normes institutionnelles redéfinit-elle la conjugalité pour un groupe social invisible du point de vue de la norme sexuelle et de genre ? Dans cet espace même de l’incertain du couple que révèlent les différentes manières d’être en duo ?
Quand l’incertitude du couple conditionne les normes de l’exclusivité sexuelle et affective
La norme de la monogamie sérielle – c’est-à-dire le fait de vivre des relations exclusives les unes après les autres – est le modèle prédominant chez les lesbiennes, et ce quelles que soient les générations [1]. Dans ce cadre, la relation sexuelle vécue dans le couple représente la métaphore de l’intime et la force du sentiment amoureux. Si la « mise en forme du désir » (Bozon, 2006) apparaît comme une des dimensions importantes de la définition du couple, toutefois la conscience de sa fragilité est une opinion partagée qui se manifeste par une exigence de fidélité affective et sexuelle pour maintenir la durabilité du couple. En effet, si d’autres facteurs contextuels peuvent entraîner l’arrêt de la relation conjugale (selon l’âge, la durée du couple, le degré de politisation, les représentations liées au lesbianisme, la présence d’enfants et le degré de relations entretenu avec les instances normatives telles que la famille), l’arrêt de la sexualité suscité par un moment d’incertitude lié au désir suscité par une autre femme ou une relation extraconjugale sont des éléments de remise en cause du couple. Alors que des discussions apparaissent souvent, notamment en début de relation, sur la notion d’infidélité, particulièrement pour les utilisatrices des chats et sites de discussions sur Internet, on peut expliquer la récurrence du modèle monogame du fait d’une difficulté à dissocier la sexualité du degré d’intensité amoureuse et d’une norme de genre qui s’explique par une quasi-absence d’un « marché sexuel » facilement accessible (bars, boîtes de nuit, lieux extérieurs de drague), contrairement aux gays qui ont davantage hérité d’une culture du sexe sans lendemain. Enfin, si le principe d’un modèle monogamique est dans la majorité des cas discuté au sein du couple, tant du point de vue de son acceptation par les deux partenaires que dans son contenu, contrairement à la majorité des couples hétérosexuels qui semblent davantage se référer à un contrat implicite d’exclusivité, la signification qui en est donnée peut varier selon la place assignée à la sexualité dans la relation de couple et selon l’expérience vécue du lesbianisme.
La question de l’ouverture du mariage civil aux personnes de même sexe a surgi sur la scène politique française à la suite de la publication du « Manifeste pour l’égalité » dans Le Monde daté du 17 mars 2004, et de l’annonce par le maire de Bègles le 9 avril de la même année de la célébration d’un mariage d’un couple gay. Si une préférence a été accordée au mariage dans les mouvements homosexuels et dans le discours politique français, c’est d’une part en référence au code napoléonien qui donne une très grande place au mariage par rapport à d’autres formes de partenariat en définissant de fait un éthos universaliste de la citoyenneté. D’autre part, ce réalisme politique témoigne de la transformation du rapport entre droit et militantisme gay et lesbien tout à fait opposé au militantisme des années 1970 et 1980 qui était davantage du côté de la critique des institutions et dans une position revendiquée de marge en tant que pouvoir subversif. En outre, si la revendication pour le mariage (gay et lesbien) est devenue un enjeu politique au cours de ces dix dernières années, c’est qu’elle a pu être portée et légitimée par ce qu’Alison Woodward (2003) nomme le triangle de velours. Ce sont des formes de relations entretenues par les mouvements sociaux, les experts et les acteurs de la politique publique. Ce concept permet de souligner la nature souvent personnelle et informelle des liens qui unissent les membres de ces réseaux (Paternotte, 2011).
Dans ce contexte actuel où le droit devient le lieu du changement social, voire de l’utopie, quel en est l’impact dans la manière de penser le couple lesbien ? Alors même que les lesbiennes ont davantage porté les revendications relatives à la filiation que celles portant sur le mariage, comment cette production de normes institutionnelles redéfinit-elle la conjugalité pour un groupe social invisible du point de vue de la norme sexuelle et de genre ? Dans cet espace même de l’incertain du couple que révèlent les différentes manières d’être en duo ?
Quand l’incertitude du couple conditionne les normes de l’exclusivité sexuelle et affective
La norme de la monogamie sérielle – c’est-à-dire le fait de vivre des relations exclusives les unes après les autres – est le modèle prédominant chez les lesbiennes, et ce quelles que soient les générations [1]. Dans ce cadre, la relation sexuelle vécue dans le couple représente la métaphore de l’intime et la force du sentiment amoureux. Si la « mise en forme du désir » (Bozon, 2006) apparaît comme une des dimensions importantes de la définition du couple, toutefois la conscience de sa fragilité est une opinion partagée qui se manifeste par une exigence de fidélité affective et sexuelle pour maintenir la durabilité du couple. En effet, si d’autres facteurs contextuels peuvent entraîner l’arrêt de la relation conjugale (selon l’âge, la durée du couple, le degré de politisation, les représentations liées au lesbianisme, la présence d’enfants et le degré de relations entretenu avec les instances normatives telles que la famille), l’arrêt de la sexualité suscité par un moment d’incertitude lié au désir suscité par une autre femme ou une relation extraconjugale sont des éléments de remise en cause du couple. Alors que des discussions apparaissent souvent, notamment en début de relation, sur la notion d’infidélité, particulièrement pour les utilisatrices des chats et sites de discussions sur Internet, on peut expliquer la récurrence du modèle monogame du fait d’une difficulté à dissocier la sexualité du degré d’intensité amoureuse et d’une norme de genre qui s’explique par une quasi-absence d’un « marché sexuel » facilement accessible (bars, boîtes de nuit, lieux extérieurs de drague), contrairement aux gays qui ont davantage hérité d’une culture du sexe sans lendemain. Enfin, si le principe d’un modèle monogamique est dans la majorité des cas discuté au sein du couple, tant du point de vue de son acceptation par les deux partenaires que dans son contenu, contrairement à la majorité des couples hétérosexuels qui semblent davantage se référer à un contrat implicite d’exclusivité, la signification qui en est donnée peut varier selon la place assignée à la sexualité dans la relation de couple et selon l’expérience vécue du lesbianisme.
De la clandestinité sexuelle à la contractualisation du multipartenariat : les différentes facettes de la conjugalité lesbienne.
Malgré l’importance que revêt la conjugalité monogame et cohabitante pour une grande majorité de lesbiennes, il peut exister chez certaines une « plasticité » du couple, qui tente de concilier autonomie sexuelle et sécurité du lien. Le multipartenariat sexuel s’inscrit dans ce mode rationnel qui a pour but principal la recherche du plaisir pour soi ; il s’exerce principalement de façon clandestine, coupée du reste de la vie sociale. Ainsi, certaines allient une sexualité de type conjugal avec une sexualité de type individuel. Les relations sexuelles, qui ont pour caractéristique de ne pas être effectivement engageantes, peuvent néanmoins êtres durables, surtout lorsque la partenaire extraconjugale n’habite pas dans la même ville que le couple officiel. Ces relations ne sont généralement pas dépersonnalisées. Parfois la rencontre peut être ponctuelle : dans ce cas, elle se déroule avec une partenaire inconnue et dépersonnalisée sur le plan affectif. Dans le contexte du multipartenariat clandestin, l’obligation de cacher les relations extraconjugales à la partenaire principale et « officielle » s’avère nécessaire sous peine de compromettre le couple. Cherchant à construire une conjugalité rassurante, les lesbiennes s’obligent alors à un travail de dissociation des univers sexuels. Ce mode de multipartenariat a pour singularité d’être discuté au début de la relation de couple. Le contrat repose sur un principe hiérarchique qui suppose que les relations avec les partenaires extraconjugales ne doivent pas être investies affectivement et ainsi ne pas remettre en cause le couple. Dans la plupart des situations, aucune des deux partenaires n’a été au courant des relations extraconjugales vécues sur un mode clandestin.
Préservation du modèle conjugal et script récréatif
Chez quelques couples lesbiens, on relève une autre forme de pratiques non exclusives, qui se rapproche du modèle du « script récréatif » observé chez certains couples gays (Lerch, 2008). On entend par script récréatif un scénario d’interactions qui n’associe pas, ou associe peu, le plaisir sexuel à des formes de gratification affective. Dans ce modèle de multipartenariat, la différence entre lien sexuel et attachement affectif s’avère souvent ténue et peut être appréhendée par des stratégies mises en place pour préserver le « moi conjugal ». Cela suppose la mise en place d’un ensemble de limites à la sexualité extérieure au couple qui permet de préserver la sécurité du cadre conjugal : par exemple, la rencontre avec la partenaire ne s’effectue généralement pas dans le réseau proche et amical. Si cette tierce personne pourra y être ultérieurement intégrée, ce sera seulement quand le lien sexuel sera rompu. De plus, la relation sexuelle avec la partenaire extérieure au couple ne doit pas se répéter au-delà d’une dizaine de fois, de peur que naissent des sentiments trop forts. Elle fait l’objet de discussions dans le couple qui prend plaisir à la révélation. Il semble bien que la réflexion sur le vécu des relations sexuelles de chacune des membres du couple donne lieu à l’élaboration d’un nouveau script conjugal qui canalise tout sentiment de jalousie, et permet le contrôle de chaque membre du duo sur d’éventuels débordements affectifs. Enfin, pour limiter l’invasion des affects, certaines pratiques sexuelles restent limitées au cadre conjugal comme, par exemple, le cunnilingus. De telles restrictions ont été observées aussi chez les couples gays non monogames, qui réservent par exemple la pénétration anale au cadre strictement conjugal, de façon à introduire de la discontinuité (Lerch, 2008). L’intimité chez les lesbiennes et chez les gays ne semble donc pas être définie de façon analogue.
Entre idéalisation et expérimentation : la polyfidélité
Quelques lesbiennes, dans une démarche critique et politique, proposent un choix atypique par le vécu de la polyfidélité [2]. Il s’agit de pratiques non exclusives et de relations durables vécues tant sur le plan sexuel qu’affectif avec des femmes. Le principe fondamental est celui d’une non-hiérarchisation entre les différentes partenaires impliquant capacité d’autonomie personnelle et solidarité politique. Cette recomposition de la norme conjugale est analysée comme une forme de résistance, d’une part, à la domination masculine et, d’autre part, à la contrainte hétéronormative. Le terme de polyfidélité est choisi de préférence à celui de multipartenariat ou de relations multiples, parce qu’il inclut l’idée d’un attachement sexuel et affectif à une, deux, voire trois partenaires en même temps, sans que cet attachement inclue des formes de rivalité entre les unes et les autres. Ce type de pratiques s’avère difficile à mettre en place et, finalement, pour un bon nombre d’enquêtées, la monogamie reste la solution la plus « facile » à vivre, même si elle s’avère provisoire et imparfaite dans la réalité de tous les jours. Pour les lesbiennes, qui se situent le plus souvent dans une adéquation à la norme de genre en ne séparant pas la sexualité et l’amour, le cadre du couple monogame apparaît comme le contexte le plus légitime pour l’exercice de ces deux dimensions, tout en étant fragile dans la durée. D’où la tentation pour une grande majorité des lesbiennes de circonscrire la réalisation de la sexualité au huis clos du couple, bien que certaines se sentent parfois partagées entre une volonté d’émancipation de la norme de genre par l’expression d’un désir plus libre et la nécessité de préserver un deux stabilisant et sécurisant.
Malgré l’importance que revêt la conjugalité monogame et cohabitante pour une grande majorité de lesbiennes, il peut exister chez certaines une « plasticité » du couple, qui tente de concilier autonomie sexuelle et sécurité du lien. Le multipartenariat sexuel s’inscrit dans ce mode rationnel qui a pour but principal la recherche du plaisir pour soi ; il s’exerce principalement de façon clandestine, coupée du reste de la vie sociale. Ainsi, certaines allient une sexualité de type conjugal avec une sexualité de type individuel. Les relations sexuelles, qui ont pour caractéristique de ne pas être effectivement engageantes, peuvent néanmoins êtres durables, surtout lorsque la partenaire extraconjugale n’habite pas dans la même ville que le couple officiel. Ces relations ne sont généralement pas dépersonnalisées. Parfois la rencontre peut être ponctuelle : dans ce cas, elle se déroule avec une partenaire inconnue et dépersonnalisée sur le plan affectif. Dans le contexte du multipartenariat clandestin, l’obligation de cacher les relations extraconjugales à la partenaire principale et « officielle » s’avère nécessaire sous peine de compromettre le couple. Cherchant à construire une conjugalité rassurante, les lesbiennes s’obligent alors à un travail de dissociation des univers sexuels. Ce mode de multipartenariat a pour singularité d’être discuté au début de la relation de couple. Le contrat repose sur un principe hiérarchique qui suppose que les relations avec les partenaires extraconjugales ne doivent pas être investies affectivement et ainsi ne pas remettre en cause le couple. Dans la plupart des situations, aucune des deux partenaires n’a été au courant des relations extraconjugales vécues sur un mode clandestin.
Préservation du modèle conjugal et script récréatif
Chez quelques couples lesbiens, on relève une autre forme de pratiques non exclusives, qui se rapproche du modèle du « script récréatif » observé chez certains couples gays (Lerch, 2008). On entend par script récréatif un scénario d’interactions qui n’associe pas, ou associe peu, le plaisir sexuel à des formes de gratification affective. Dans ce modèle de multipartenariat, la différence entre lien sexuel et attachement affectif s’avère souvent ténue et peut être appréhendée par des stratégies mises en place pour préserver le « moi conjugal ». Cela suppose la mise en place d’un ensemble de limites à la sexualité extérieure au couple qui permet de préserver la sécurité du cadre conjugal : par exemple, la rencontre avec la partenaire ne s’effectue généralement pas dans le réseau proche et amical. Si cette tierce personne pourra y être ultérieurement intégrée, ce sera seulement quand le lien sexuel sera rompu. De plus, la relation sexuelle avec la partenaire extérieure au couple ne doit pas se répéter au-delà d’une dizaine de fois, de peur que naissent des sentiments trop forts. Elle fait l’objet de discussions dans le couple qui prend plaisir à la révélation. Il semble bien que la réflexion sur le vécu des relations sexuelles de chacune des membres du couple donne lieu à l’élaboration d’un nouveau script conjugal qui canalise tout sentiment de jalousie, et permet le contrôle de chaque membre du duo sur d’éventuels débordements affectifs. Enfin, pour limiter l’invasion des affects, certaines pratiques sexuelles restent limitées au cadre conjugal comme, par exemple, le cunnilingus. De telles restrictions ont été observées aussi chez les couples gays non monogames, qui réservent par exemple la pénétration anale au cadre strictement conjugal, de façon à introduire de la discontinuité (Lerch, 2008). L’intimité chez les lesbiennes et chez les gays ne semble donc pas être définie de façon analogue.
Entre idéalisation et expérimentation : la polyfidélité
Quelques lesbiennes, dans une démarche critique et politique, proposent un choix atypique par le vécu de la polyfidélité [2]. Il s’agit de pratiques non exclusives et de relations durables vécues tant sur le plan sexuel qu’affectif avec des femmes. Le principe fondamental est celui d’une non-hiérarchisation entre les différentes partenaires impliquant capacité d’autonomie personnelle et solidarité politique. Cette recomposition de la norme conjugale est analysée comme une forme de résistance, d’une part, à la domination masculine et, d’autre part, à la contrainte hétéronormative. Le terme de polyfidélité est choisi de préférence à celui de multipartenariat ou de relations multiples, parce qu’il inclut l’idée d’un attachement sexuel et affectif à une, deux, voire trois partenaires en même temps, sans que cet attachement inclue des formes de rivalité entre les unes et les autres. Ce type de pratiques s’avère difficile à mettre en place et, finalement, pour un bon nombre d’enquêtées, la monogamie reste la solution la plus « facile » à vivre, même si elle s’avère provisoire et imparfaite dans la réalité de tous les jours. Pour les lesbiennes, qui se situent le plus souvent dans une adéquation à la norme de genre en ne séparant pas la sexualité et l’amour, le cadre du couple monogame apparaît comme le contexte le plus légitime pour l’exercice de ces deux dimensions, tout en étant fragile dans la durée. D’où la tentation pour une grande majorité des lesbiennes de circonscrire la réalisation de la sexualité au huis clos du couple, bien que certaines se sentent parfois partagées entre une volonté d’émancipation de la norme de genre par l’expression d’un désir plus libre et la nécessité de préserver un deux stabilisant et sécurisant.
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Dossier : “Homosexualités aujourd’hui“
“L’homosexualité masculine contemporaine“ Patrick Leuillet
“Conjugalités lesbiennes“ Natacha Chetcuti
“Orientation sexuelle : se reconnaître et s’accepter“ Frédéric Galtier
“Le grand mystère du désir masculin“ Clothilde Lalanne
Autres sujets :
“Le porno, thérapie ou résilience ? Alexandre Merlo et Philippe Brenot
“Le speed dating ?“ Pierre-Yves Wauthier
“La psycho-sexologie appliquée“ Yvon Dallaire et Yv Psalti
“Le slow sex ?“ Dominique Deraita
“Le sexe des filles“ Catherine Leboullenger
“Semence et souillure en terre Yafar“ Pierre-André Bizien
“Parsifal, du sacré au sexuel… “
“Portraits de femmes chez Lars von Trier“ Jean-Gérald Veyrat
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“Portraits de femmes chez Lars von Trier“ Jean-Gérald Veyrat